Danilo RODRIGUEZ
Chargée de developpement
M. drh@goneprod.fr
T. +33 0 7 70 72 63 79
Durée : 75 min
Personnes au plateau : 4
Distribution :
Danilo RODRIGUEZ
Rémi MATRAT
Josselin HAZARD
Alexandre PHALIPPON
© Photos Eric MEURICE
L'esprit frénétique et fractionné, DRH taille le granit au laser. Les mains de fer qui le dirigent n'hésitent pas à dévier leur route dans d' impétueuses paraboles .
Toujours sensuelle, lentement véloce et sombrement lumineuse, la musique de ces quatre polissons vous guide dans un voyage planant et impérieux où énergie libre flirte avec lyrisme !
DRH propose des compositions assez mélancoliques, toujours interprétées avec bouillonnement et vitalité. Leur ligne de conduite ? La mélodie... Toujours présente, elle vous emmène et s’emmêle à des riffs lourds et à des rythmiques endiablées.
DRH c'est.....
d'abord la rencontre du saxophone de Rémi et de la guitare de Danilo, du jazz et du rock, de la France et de la Colombie... Il ne manquait à cette rencontre que la subtilité et la puissance de la batterie de Josselin et la profondeur abyssale de la basse d'Alex.
S'ensuivent des concerts dans la Région Auvergne Rhône-Alpes puis à Paris, pour s'exporter jusqu'en Allemagne et en Russie. Au fil de leur route et des rencontres, leur musique ne cesse de mûrir jusqu'à en découdre avec les styles traditionnels pour donner naissance à un tableau unique à Lyon, celui d'une DRH survoltée et toujours sensuelle !
"Il y a dans ce concert autant à voir qu'à écouter : Rémi Matrat anime le show et souffle dans son saxophone comme si sa vie en dépendait. DRH (...) emplit l'espace sonore du Triton sans difficulté avec un jazz râpeux, très électrique, syncopé. Danilo Rodriguez (guitare) et Rémi Matrat ont composé en tenant compte de la domination commune de leurs instruments respectifs. Quant au hipster qui officie derrière les fûts (appelons-le Josselin Hazard), il ne paie pas de mine avec son look branché, mais n'en est pas moins redoutable dans l'utilisation des baguettes, tout comme l'imposant Alexandre Phalippon à la basse." Jean-Philippe Haas, Chromatique.net